L’été se termine en beauté à Bousval, avec les fêtes de la Saint-Barthélemy en apothéose !

La nouvelle place a été inaugurée et, en accueillant l’« Apéro sur l’herbe », elle n’a pas tardé à remplir son rôle de lieu de vie et de rencontre dans le village.

Les expositions ont enchanté les visiteuses et les visiteurs ; nous y reviendrons dans le Bousvalien d’octobre (bilan et résultats du concours).

Le vernissage a été l’occasion de remercier les autorités communales pour le soutien opérationnel et financier de la ville, ainsi que les principaux sponsors : Michel Verhaeghe de Naeyer du vignoble du Château de Bousval, Christian Gosselain de Thy-Conseil, Quentin Defalque du bureau ABR, Marie et Jérémy Vermeiren de la Ferme de la Distillerie.

Remerciements aussi pour les 66 artistes qui ont présenté leurs peintures, sculptures et photographies et les 15 artistes qui nous ont offert le land art : sans ces 81 personnes qui acceptent d’exposer leur travail, pas d’exposition artistique.

Pas d’exposition artistique non plus sans le dynamisme, l’enthousiasme, le sens de l’organisation du Comité artistique présidé par Thierry Berlanger et Serge Hendrickx avec son épouse Brigitte Martin.

Citons tous les membres de ce comité qui apportent une contribution indispensable à la réussite de l’exposition : Chantal Hendrickx, Josée Balon et Francis Rouet, Marie-Christine Bero, Gabriel Vermeiren, Laurence Falisse et Serge Bastin.

Mention spéciale pour Serge Bastin qui est à l’initiative du parcours land art entre Dyle et Ravel, proposé pour la deuxième fois après le succès remporté l’année passée (cette expo en plein air est visible le long du RAVeL jusqu’au 17 septembre).

Succès aussi pour l’exposition de cartes postales anciennes de la collection de Robert Martin, le plus bousvalien de tous les Bousvaliens, collectionneur passionné et passionnant. Sa collection, fruit de 40 ans de recherches assidues, est la meilleure (et de loin !) collection de cartes concernant Bousval et les autres entités du Grand Genappe. Merci à lui et au Cercle d’histoire et d’archéologie du pays de Genappe (CHAPG) qui a collaboré à l’organisation de l’exposition.

Enfin, remerciements au public auquel les expositions sont destinées et sans lequel elles n’auraient aucun sens ni aucune raison d’exister.

L’art nous offre la chance, le bonheur du partage, de la rencontre, avec les artistes et tous les autres qui le vivent, l’écoutent, le contemplent. Que ce soit la peinture, la sculpture, la photographie, la musique, l’écriture, le land art, l’art « qui ne sert à rien » forge notre appartenance, notre identité, notre communauté.

Nous ne sommes pas les seuls à le penser, à l’expérimenter.

Ainsi, le même weekend se tenait à Tournai un festival intitulé « Rencontres inattendues ». Rencontres d’artistes plasticiens, de musiciens, de philosophes, ateliers participatifs, rencontres stimulantes, qui font appel à l’imagination (et qui mieux que l’art peut le faire ?) et qui s’interrogent, qui débattent sur tous les sujets de société pour mieux aborder demain et après-demain. Comment partager l’espace public par exemple ? Là, c’est le land art qui apporte ses réponses. Bref, il s’agit là de réfléchir à la démocratie, de se parler, de débattre. 

                                 

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